Titre original : Autem
Réalisation : Johann Reiter
Scénario : Erik Reiter
Acteurs principaux :
Edgar Pribenstein : Erwin von Memel
Jens Utter : Heiko Bovenschulte
Pays d'origine : Grand Duché de Zollernberg
Genre : Historique
Durée : 89 minutes
Sortie : 2021
Budget : 19 mille Livre Zterling
La critique nationale zollernoise a encensé ce film et son jeune réalisateur qui a osé pour son premier long-métrage retracer l'histoire véridique de l'aviateur Erwin von Memel et de sa mythique aventure de survie dans les Zavonifères au début du siècle dernier.
L'histoire se déroule dans les années trente dans les Zavonifères. Dès le début du film, le réalisateur s'attarde longuement sur les aviateurs de l'époque qui étaient de véritables casse-cous pour s'embarquer sur ces fragiles coucous de bois et de toile. Suite à une longue mission au dessus des Zavonifères, Erwin von Memel, un as de l'époque, est pris dans une terrible tempête et s'écrase à près de 3000 mètres d'altitude dans un froid absolument polaire.
Rapidement, les camarades de Memel entament des recherches dans les Zavonifères mais fouiller ce massif montagneux équivaut à chercher une aiguille dans une meule de foin. Et puis comme le disent les paysans hélvians d'antan : " A cette période de l'année, les Zavonifères ne rendent pas les hommes".
Après avoir patienté vingt-quatre heures, blotti dans sa carlingue glacée, Memel décide de rallier à pied un poste de haute altitude. Sans nourriture, sans eau, sans équipement, ce héros des temps modernes marchera cinq jours et cinq nuits par des températures de -20°C. Tous les Zollernois connaissent le courage, l'extraordinaire force de volonté, l'hymne à la vaillance de Memel qui franchira plusieurs cols sans se départir de son mantra : "Je marche, je ne m'arrête pas. Les camarades me cherchent. Ils me cherchent parce qu'ils savent que je me battrai jusqu'au bout. Ils savent que je marche. Je suis un salaud si je m'arrête." Au quatrième jour, affamé et épuisé, Memel chute dans une crevasse. Terrassé par le choc, il songe à se laisser mourir. Alors qu'il dérive vers la mort, il pense à sa femme, à la police d'assurance-vie qui la mettra à l'abri. Il réalise qu'on ne retrouvera jamais son corps dans ce trou et qu'elle ne touchera rien. Memel se relève et ne s'arrête plus.
Un jour et une nuit plus tard, le miracle s'accomplit. Memel est retrouvé par un pastoureau. Quelques heures plus tard, son camarade Bovenschlute le rallie et ramène le miraculé à la base où il ne donnera que ces quelques mots : "Ce qui m'a sauvé, c'est de faire un pas après l'autre. Un pas de plus. Ce que j'ai fait, une bête ne l'aurait pas fait."
Le film s'achève sur cette image de Memel, qui deux jours après son épopée, remonte à nouveau dans son avion, le visage creusé mais illuminé…
L'histoire se déroule dans les années trente dans les Zavonifères. Dès le début du film, le réalisateur s'attarde longuement sur les aviateurs de l'époque qui étaient de véritables casse-cous pour s'embarquer sur ces fragiles coucous de bois et de toile. Suite à une longue mission au dessus des Zavonifères, Erwin von Memel, un as de l'époque, est pris dans une terrible tempête et s'écrase à près de 3000 mètres d'altitude dans un froid absolument polaire.
Rapidement, les camarades de Memel entament des recherches dans les Zavonifères mais fouiller ce massif montagneux équivaut à chercher une aiguille dans une meule de foin. Et puis comme le disent les paysans hélvians d'antan : " A cette période de l'année, les Zavonifères ne rendent pas les hommes".
Après avoir patienté vingt-quatre heures, blotti dans sa carlingue glacée, Memel décide de rallier à pied un poste de haute altitude. Sans nourriture, sans eau, sans équipement, ce héros des temps modernes marchera cinq jours et cinq nuits par des températures de -20°C. Tous les Zollernois connaissent le courage, l'extraordinaire force de volonté, l'hymne à la vaillance de Memel qui franchira plusieurs cols sans se départir de son mantra : "Je marche, je ne m'arrête pas. Les camarades me cherchent. Ils me cherchent parce qu'ils savent que je me battrai jusqu'au bout. Ils savent que je marche. Je suis un salaud si je m'arrête." Au quatrième jour, affamé et épuisé, Memel chute dans une crevasse. Terrassé par le choc, il songe à se laisser mourir. Alors qu'il dérive vers la mort, il pense à sa femme, à la police d'assurance-vie qui la mettra à l'abri. Il réalise qu'on ne retrouvera jamais son corps dans ce trou et qu'elle ne touchera rien. Memel se relève et ne s'arrête plus.
Un jour et une nuit plus tard, le miracle s'accomplit. Memel est retrouvé par un pastoureau. Quelques heures plus tard, son camarade Bovenschlute le rallie et ramène le miraculé à la base où il ne donnera que ces quelques mots : "Ce qui m'a sauvé, c'est de faire un pas après l'autre. Un pas de plus. Ce que j'ai fait, une bête ne l'aurait pas fait."
Le film s'achève sur cette image de Memel, qui deux jours après son épopée, remonte à nouveau dans son avion, le visage creusé mais illuminé…