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Le réchauffement climatique montre ses premiers effets : les hivers livadiens sont de plus en plus rigoureux.
En épluchant leurs données les météorologistes livadiens avaient remarqué que les hivers de Nouvelle-Ardanie étaient de plus en plus rigoureux. La station de Levgrad dans le sud du pays a pu constater qu'au cours de la dernière décennie les températures se trouvaient en moyenne entre 1 et 3 degrés en dessous des normales saisonnières.
Une équipe de scientifiques missionnée par l'Université Royale de Livadia et dirigée par le professeur Andris Lembergs a fourni une première explication à ce phénomène. Paradoxalement, c'est le réchauffement climatique qui serait en cause de ce refroidissement. A bord du brise-glace Hapsal, l'équipe a pu mesurer la fonte prononcée de la calotte glaciaire de l'océan micrantarticque, déjà observée par satellite. En moyenne la réduction de l'étendue de la banquise micrantarctique serait de 0,2% par an.
La réduction de la banquise en été diminue l'albédo de la Micrantartique, renforçant son réchauffement pendant cette saison. Une partie de la chaleur accumulée est transmise à l'atmosphère pendant l'hiver, modifiant la circulation des vents polaires. Ces changements entraîneraient des incursions d'air arctique aux latitudes australes expliquant les épisodes hivernaux particulièrement rudes ayant touché la Livadie en 2015 et 2018. Lembergs ajoute " La fonte des glaces, si elle devait être de plus en plus prononcée, rafraichirait encore davantage les courants marins remontant sur la côte méridionale, accentuant encore le phénomène".
L'équipe scientifique modère cependant ce propos : "les statistiques sur ces phénomènes sont encore trop récentes pour tirer une conclusion définitive. Il faut encore déterminer dans quelle mesure ce changement climatique est imputables aux activités humaines."
Néanmoins, la Livadie se retrouve très concrètement concernée du fait de sa proximité géographique avec la calotte glaciaire mais le sujet est appelé à se généraliser à l'échelle micromondiale.
Une équipe de scientifiques missionnée par l'Université Royale de Livadia et dirigée par le professeur Andris Lembergs a fourni une première explication à ce phénomène. Paradoxalement, c'est le réchauffement climatique qui serait en cause de ce refroidissement. A bord du brise-glace Hapsal, l'équipe a pu mesurer la fonte prononcée de la calotte glaciaire de l'océan micrantarticque, déjà observée par satellite. En moyenne la réduction de l'étendue de la banquise micrantarctique serait de 0,2% par an.
La réduction de la banquise en été diminue l'albédo de la Micrantartique, renforçant son réchauffement pendant cette saison. Une partie de la chaleur accumulée est transmise à l'atmosphère pendant l'hiver, modifiant la circulation des vents polaires. Ces changements entraîneraient des incursions d'air arctique aux latitudes australes expliquant les épisodes hivernaux particulièrement rudes ayant touché la Livadie en 2015 et 2018. Lembergs ajoute " La fonte des glaces, si elle devait être de plus en plus prononcée, rafraichirait encore davantage les courants marins remontant sur la côte méridionale, accentuant encore le phénomène".
L'équipe scientifique modère cependant ce propos : "les statistiques sur ces phénomènes sont encore trop récentes pour tirer une conclusion définitive. Il faut encore déterminer dans quelle mesure ce changement climatique est imputables aux activités humaines."
Néanmoins, la Livadie se retrouve très concrètement concernée du fait de sa proximité géographique avec la calotte glaciaire mais le sujet est appelé à se généraliser à l'échelle micromondiale.
