Titre original : Jan Urb, une légende est née.
Réalisation : Octav Pilsen
Scénario : Octav Pilsen
Acteurs principaux :
Jan Urb : Jan Raab
Katarina : Paula Gauthier
Rahman Mwa-Elfric Bhatar : Steffen Grupe
Pays d'origine : Grand Royaume de Livadia
Genre : Action
Durée : 98 minutes
sortie : 2020
Budget : 76 millions de livs.
Vilipendé par la critique nationale qui a condamné un scénario laborieux voué à introduire une très longue scène de sexe et une boucherie finale écoeurante, Jan Urb, une légende est née, a malgré tout séduit le public livadien, avide de films d'action explosifs, et il lui a réservé un triomphe au box-office. Jan Urb, un filon à pognon est né !
Synopsis :
Jan Urb est un ancien soldat des Gardes Livadiennes, une unité d’élite. Dix ans auparavant, lors d’une opération militaire en Ostaria qui a mal tourné, il a perdu huit soldats suite à une erreur de jugement.
Quarantenaire désabusé et brisé, Jan s’est retiré en Turcosie, loin du monde moderne où il vit modestement de ses terres, en ermite ombrageux et misanthrope.
Un jour, le chef du village fait appel à lui. Huit jeunes gens venus de Francovie, de Livadia et du Skotinos, missionnés par une ONG humanitaire s’entêtent à vouloir apporter des vivres et des médicaments à des habitants pauvres d’une vallée sous la coupe d’un chef de guerre aussi violent que sadique : Rahman Mwa-Elfric Bhatar.
Bougon et fâché avec le monde, Jan refuse d’abord de les aider, avant de finalement renconter les jeunes gens. Il tente de les en dissuader, mais les humanitaires ne veulent rien entendre. Leur leader, une jeune et belle Skotinecque idéaliste prénommée Katarina persiste dans leur projet insensé et demande à Jan d’assurer leur sécurité.
Jan accepte seulement de les conduire jusqu’au col de la vallée, non sans condamner l’expédition. Durant le trajet, Katarina et Jan se rapproche, et la nuit tombée, ils font l’amour dans une scène de dix-sept minutes.
Au matin, malgré ce rapprochement, Jan refuse d’aller plus loin, ce qui déçoit terriblement Katarina et le groupe. Néanmoins, il leur donne quelques conseils pour éviter les hommes de Rahman.
De retour chez lui, Jan est attaqué par un loubard à la solde du chef de guerre qu’il massacre sans peine. Se sentant profondément responsable des jeunes, il s’équipe et fait demi-tour. Juste à temps ! Il tombe sur le camp de Rahman qui terrorise un village et se prépare à éxécuter les humanitaires.
S’ensuit une scène d’un quart d’heure où Jan massacre les hommes de main de Rahman. Urb, dans une scène déjà culte, tue une centaine d’hommes à la mitrailleuse lourde et au poignard. Un bain de sang qui ravit les bas instincts du public !
Rahman et Urb s’affrontent dans un combat à mains nus, et notre héros finit par étrangler son adversaire.
Les jeunes gens sont sauvés. Néanmoins, chacun repart de son côté, conscient de ne pas appartenir au même monde.
La légende de Jan Urb est née.
Quarantenaire désabusé et brisé, Jan s’est retiré en Turcosie, loin du monde moderne où il vit modestement de ses terres, en ermite ombrageux et misanthrope.
Un jour, le chef du village fait appel à lui. Huit jeunes gens venus de Francovie, de Livadia et du Skotinos, missionnés par une ONG humanitaire s’entêtent à vouloir apporter des vivres et des médicaments à des habitants pauvres d’une vallée sous la coupe d’un chef de guerre aussi violent que sadique : Rahman Mwa-Elfric Bhatar.
Bougon et fâché avec le monde, Jan refuse d’abord de les aider, avant de finalement renconter les jeunes gens. Il tente de les en dissuader, mais les humanitaires ne veulent rien entendre. Leur leader, une jeune et belle Skotinecque idéaliste prénommée Katarina persiste dans leur projet insensé et demande à Jan d’assurer leur sécurité.
Jan accepte seulement de les conduire jusqu’au col de la vallée, non sans condamner l’expédition. Durant le trajet, Katarina et Jan se rapproche, et la nuit tombée, ils font l’amour dans une scène de dix-sept minutes.
Au matin, malgré ce rapprochement, Jan refuse d’aller plus loin, ce qui déçoit terriblement Katarina et le groupe. Néanmoins, il leur donne quelques conseils pour éviter les hommes de Rahman.
De retour chez lui, Jan est attaqué par un loubard à la solde du chef de guerre qu’il massacre sans peine. Se sentant profondément responsable des jeunes, il s’équipe et fait demi-tour. Juste à temps ! Il tombe sur le camp de Rahman qui terrorise un village et se prépare à éxécuter les humanitaires.
S’ensuit une scène d’un quart d’heure où Jan massacre les hommes de main de Rahman. Urb, dans une scène déjà culte, tue une centaine d’hommes à la mitrailleuse lourde et au poignard. Un bain de sang qui ravit les bas instincts du public !
Rahman et Urb s’affrontent dans un combat à mains nus, et notre héros finit par étrangler son adversaire.
Les jeunes gens sont sauvés. Néanmoins, chacun repart de son côté, conscient de ne pas appartenir au même monde.
La légende de Jan Urb est née.