Un diplomate livadien, missionné par le MAE, et répondant au nom de Otto Hirv aborda Henri de Véran, ce pirate sorabe. Assurément, il aurait préféré un autre poste, mais la politique diplomatique livadienne était claire. Livadia parlait à tous.
Abordant le coquin qui trainassait dans les bâtiments du CSM, Hirv l'invita à prendre une pinte et la discussion s'engagea.
- Capitaine, nous avons bien compris votre message. Livadia est prêt à s'entendre avec vous pour que vous souteniez notre projet Livadia 2020. Voilà ce que je vous propose. Après la guerre civile, nous avons perdu plus d'un tiers de notre flotte. Nous n'avons pas d'ennemis, mais nous n'aimons pas pour autant nous sentir affaiblis. Aussi, mon gouvernement vous propose un contrat lucratif de cinq ans où votre vaisseau et vos affidés participeraient à la surveillance de nos côtes. Voilà pour vous. Et pour la Principauté, nous lui proposons une entrée dans le capital de LIV-ARMS, notre compagnie d'armement à hauteur de 15 % et le partage de certains de nos brevets.
Flattant le pirate en quête de respectabilité, il conclut.
- Voilà ce que je vous propose de gentilhomme à capitaine, de Fehér à Fehér, qu'en dites-vous ?
Abordant le coquin qui trainassait dans les bâtiments du CSM, Hirv l'invita à prendre une pinte et la discussion s'engagea.
- Capitaine, nous avons bien compris votre message. Livadia est prêt à s'entendre avec vous pour que vous souteniez notre projet Livadia 2020. Voilà ce que je vous propose. Après la guerre civile, nous avons perdu plus d'un tiers de notre flotte. Nous n'avons pas d'ennemis, mais nous n'aimons pas pour autant nous sentir affaiblis. Aussi, mon gouvernement vous propose un contrat lucratif de cinq ans où votre vaisseau et vos affidés participeraient à la surveillance de nos côtes. Voilà pour vous. Et pour la Principauté, nous lui proposons une entrée dans le capital de LIV-ARMS, notre compagnie d'armement à hauteur de 15 % et le partage de certains de nos brevets.
Flattant le pirate en quête de respectabilité, il conclut.
- Voilà ce que je vous propose de gentilhomme à capitaine, de Fehér à Fehér, qu'en dites-vous ?