Hauteville était a son bureau du Palais Corvin, dans la pénombre, penché de trois-quart, le coude droit sur le bureau et la main droite qui s'empoigné le front. Son regard vers le bas était comme vide. Cela faisait un bon quart d'heure qu'il réfléchissait ainsi.
Il n'était pas seul dans le bureau. Il y avait le Général Arthur Weiss, son fidèle aide-de-camp et Pierre-Enguerand Jobert, son secrétaire particulier. Personne ne l'interrompit dans ses réflexions...
Puis enfin, il se redressa... regarda tour à tour Wiess et Jobert. Et le Feld-Maréchal de déclarer :
Bon, on y va...
Il décrocha son téléphone et composa un numéro connu de lui seul.
A quelques mètre de la frontière sud, en Tchécoslovénie, un homme en tenue de combat intégralement noir pris l'appel.
Alpha ? Allez-y...
Sans dire un mot, "Alpha" raccrocha. Il fit signe à son équipe de passer la frontière. Celle-ci était une palissage grillagée que l'on pouvait aisément coupé à la pince.
Le Kolozistan pavloviste qui se trouvait de l'autre coté n'avait pas massé de troupe à la frontière et ne surveillait pas celle-ci particulièrement. En effet, les pavlovistes savait qu'Edoran ne réagirait qu'en cas d'attaque, et en aucun cas d'eux-même dans ce conflit. De plus, le fameux Mur Fédéral d'Edoran, c'est-dire une suite ininterrompue de batteries fixes d'artillerie, de forts et de casemates tout au long de la frontière avec le Kolozistan avait eu son petit effet répulsif sur les pavlovistes.
L'équipe d'Alpha, qui, vous l'aurez deviné, est la célèbre unité spéciale de l'Armée du Saint-Empire, marcha 5 lieues avant de retrouver un contact du Service d'Espionnage Edoranais, qui leur fourni une camionnette et des déguisements.
La camionnette d'une troupe de musiciens se dirigeait ainsi vers Belgograd et y serait après quelques heures de route...
Il n'était pas seul dans le bureau. Il y avait le Général Arthur Weiss, son fidèle aide-de-camp et Pierre-Enguerand Jobert, son secrétaire particulier. Personne ne l'interrompit dans ses réflexions...
Puis enfin, il se redressa... regarda tour à tour Wiess et Jobert. Et le Feld-Maréchal de déclarer :
Bon, on y va...
Il décrocha son téléphone et composa un numéro connu de lui seul.
A quelques mètre de la frontière sud, en Tchécoslovénie, un homme en tenue de combat intégralement noir pris l'appel.
Alpha ? Allez-y...
Sans dire un mot, "Alpha" raccrocha. Il fit signe à son équipe de passer la frontière. Celle-ci était une palissage grillagée que l'on pouvait aisément coupé à la pince.
Le Kolozistan pavloviste qui se trouvait de l'autre coté n'avait pas massé de troupe à la frontière et ne surveillait pas celle-ci particulièrement. En effet, les pavlovistes savait qu'Edoran ne réagirait qu'en cas d'attaque, et en aucun cas d'eux-même dans ce conflit. De plus, le fameux Mur Fédéral d'Edoran, c'est-dire une suite ininterrompue de batteries fixes d'artillerie, de forts et de casemates tout au long de la frontière avec le Kolozistan avait eu son petit effet répulsif sur les pavlovistes.
L'équipe d'Alpha, qui, vous l'aurez deviné, est la célèbre unité spéciale de l'Armée du Saint-Empire, marcha 5 lieues avant de retrouver un contact du Service d'Espionnage Edoranais, qui leur fourni une camionnette et des déguisements.
La camionnette d'une troupe de musiciens se dirigeait ainsi vers Belgograd et y serait après quelques heures de route...