Au Krassland, l'arrivée au pouvoir d'un gouvenement extremiste chez le voisin zollernois, fut diversément perçu par les deux partis de la coalition liberalo-nationaliste en place à Neu Krassburg. Si les libéraux du MAL emenés par le président Schlecht s'inquiétaient de voir une récrudescence des tensions militaires venir contratecarer les projets krasslandais de développement des colonies de Novlémia, les nationalistes du MPK du chancelier Hogenberg y voyaient eux une opportunité à terme de récupérer Monte Krasso et la rive orientale du Graustrom, en tablant sur le fait que le nouveau régime zollernois allait certainement commettre quelque provocation qui fournirait au Krassland un bon pretexte pour intervenir au Zollernberg avec un large soutien de la communauté micromondiale.
Les médias krasslandais soulignaient pour la plupart que le nouveau gouvernement zollernois s'inscrivait dans la mouvance politique des jalanistes francovars, des pavlovistes kolozistanais et des octavistes banganais et que tous ces régimes avaient connu une fin aussi dramatique que pitoyable.
Les médias krasslandais soulignaient pour la plupart que le nouveau gouvernement zollernois s'inscrivait dans la mouvance politique des jalanistes francovars, des pavlovistes kolozistanais et des octavistes banganais et que tous ces régimes avaient connu une fin aussi dramatique que pitoyable.