par Livadia Ven 27 Mar 2020 - 9:51
Alexander Krasts, représentant de Livadia auprès de l'ONA prit la parole.
- Permettez que j'intervienne. Ma nation est au premier chef concernée. Il y a près de deux ans, des troubles et des crises récurrentes ont dégénéré jusqu'à la guerre civile. Des Républicains radicaux ou merksistes, désavoués dans les urnes, ont perpétré un coup d'état contre l'ordre constitutionnel et se sont emparés de la moitié sud du pays. Le gouvernement central, paralysé, n'a pu s'opposer sérieusement à l'avancée des troupes sécessionnistes. Aussi, l'armée a pris en charge les destinées de la nation. Le Haut-Roi de Livadia a validé cette décision, à posteriori, peu avant sa mort. Ainsi, la Régence que je représente et que nous désignons sous le nom d'État livadien, mène une lutte difficile pour réduire cette sécession, qui s'est montrée criminelle dans son gouvernement et son traitement à l'égard de nos prisonniers. Après deux ans de conflit, les armes nous ont été favorables et nous sommes sur le point de prendre Levgrad, dernier bastion républicain. Néanmoins, la guerre tend à se prolonger de par l'action irresponsable du Valdisky qui inonde notre territoire des mercenaires de l'Internationale Merksiste.
Par ailleurs, plusieurs citoyens de vos pays se sont engagés dans ces brigades criminelles et œuvrent à la déstabilisation de la Livadie. Je ne confonds pas l'engagement d'un état de celui de certains ces concitoyens, mais vous devez retenir vos éléments les plus radicaux. Nous avons fait prisonniers des Kolozistanais, des Mézènes et surtout des Valdisks et des Francovars et nous en ferons d'autres. Dès le début du conflit, nous avons pris le parti de considérer les rebelles comme des prisonniers de guerre et il en va de même à l'égard de vos concitoyens qui seront libérés sitôt qu'ils auront payé leur dette à la nation livadienne.
EL : En Livadia, nous jouons
à la zollernoise, c'est-à-dire qu'un mois EL équivaut à un an IL.