Trophée Metafora

8 + 12 + 1 + 1 = 22 

Les Previs furent les suivants à prendre la décision en ce jour 2 du Trophée Metafora.
Plusieurs bateaux les collaient notamment le Francovex ce qui était assez symbolique.
Pour l'instant ils étaient assez satisfait de leur méthode et donc ils décidèrent de rester avec cette voile V8 qui visiblement était la plus populaire auprès des marins de la course.

Restait à savoir s'ils pouvaient rejoindre les concurrents lédons notamment qui étaient dignes de leur réputation micromondiale en voile.

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'D6' : 4, 6, 2

13 + 10 + 3 + 1 = 27


Les Previs ne l'avaient pas encore compris mais ils étaient volontairement suivi par le Francovex.
Les franco-nadéens qui pilotaient le voilier aux couleurs du conglomérat francovar, attendaient patiemment une erreur des aristocrates picabiens.
Pour l'instant elle n'était pas arrivée mais ce n'était pas si grave, ils comptaient bien les dépasser d'ici la fin de la course mais pour l'instant ils voulaient éviter d'etre distancés.
De nouveau donc ils copièrent les Prévis en choisissant la voile V8 comme lors du Jour 1.
Avoir attendu pour voir la tactique des Previs était un avantage contre eux mais c'était aussi un risque car le vent venait de se lever ...

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'D6' : 4, 6, 3

A bord du "Houlenn", Claire Le Goff et Yves Le Goff sentaient la fatigue monter. Les réglages incessants sur la grande voile, le génois et voile arrière étaient épuisant. Le navire ne cessait de réagir violemment au moindre changement de force ou de direction de vent. Ils étaient souvent tout les deux sur le pont et manquaient de sommeil. Ils avaient à peine le temps de s'alimenter avant de s'écrouler dans leurs couchettes. Ils mesuraient maintenant la différence entre un marin expérimenté, habitué aux courses et un employé de la marine marchande, ce qu'ils étaient tout deux. A bord des cargos à voile de la Houlenn, les énormes voiles étaient robotisées et en cas de problème il restait le moteur électrique pour corriger un cap. Là ils étaient démunis, affairés en permanence à tourner les winchs, perclus de crampes et quelque peu démoralisés. Mais encore une fois, il n'était pas question de décevoir leur cousin, surtout pas publiquement. Pourtant il devenait évident que ce voilier était quasiment impossible à gouverner à deux équipiers, surtout sur une course longue. Ils se sentaient toutefois en relative sécurité, même dans les moments les plus violents le voilier restait stable et passait bien les lames. Mais ce n'était pas finir la course que leur sponsors demandaient mais de finir en bonne place et idéalement de la gagner. ils étaient en plein doute et n'avaient pas eus la force de changer de voile. Ils était toujours sous grande voile et génois (V8). Ce qui n'était pas forcément le bon choix à l'approche d'une zone difficile.

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'D6' : 2, 6, 6

Finalement l'abnégation de l'équipage du "Houlenn" avait payé, ils avaient fait une très bonne journée, remontant en vue du "Décar"

12+3+1= 16 points

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'D6' : 5, 4, 4

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'D6' : 5, 4

Le vent avait bien tourné à l'avantage du naivre pryan. Il s'engouffrait gaiement dans les voiles du Dauphin Ardent ce qui lui permit de remonter sur ses adversaires.

Score : 9+2+1 = 12

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'D6' : 6, 6

6+6+2+1 = 15



Sans se mettre la pression et avec nonchalence, Carrer et Ritter avaient néanmoins su trouver les meilleurs reglages et avaient finement tiré profi d'une analyse pertinente des prévisions météo pour faire remoter le Défi sur la tête de course. Et désormais ils étaient revenus à hauteur du GBK.





30 - Décar
29 - Houlenn
28 - Fabkraust - Triomphant
27 - GBK - Les Prévis - Francovex - Défi
26
25 - Misko
24
23 - Fulgurance
22 - Fergana - Saint Timothée
21 - Sailing Dorbasse
20 - Pébur
19 - Argolide II
18 - Crève la dalle
17 - Kokrako - Kataskevi - Dauphin Ardent
16 - Wata - Dragon
15 - Moutawa
14 - Batikos Diphtikos - Hana
13
12
11 - Auhémmatelau II
10
9
8
7 - Imakoutébokou
6
5
4
3
2
1
Encore au port - Perle Boréale

Les premiers navires lédoniens passeront au large de la LED dans les prochaines heures, les sponsors allaient leur mettre une pression énorme pour afficher leurs marques sur d'énormes spi. Les équipages redoutaient ce passage qui allait les forcer à ne pas se fier à leur instinct mais à une pure logique marketing. Allez faire comprendre çà à votre patron.

La Perle fut lancée après tous les autres. Les skippers avaient pris du retard, après une tourista bien tassée pour Arjun Vijay. Ce dernier, n'ayant finalement pu prendre le départ de la course en même temps que les autres avait fait patienter son partenaire et Clårå Hellspert l'avait attendu près de 24h avant que les deux skippers puissent prendre le large. C'est vraiment la catastrophe mais on ferait avec. On hissa donc une V6 parce que les vents semblaient être intéressants mais on ne savait pas trop comment la voile allait se comporter en pleine et haute mer. Après une sortie du port de Celesta, on se dirigea donc le plus rapidement possible en direction de la haute mer. Le port était vide à part quelques supporters d'Havnsthor ayant fait le déplacement pour saluer et soutenir les deux skippers malheureux du YCH. Qu'importe, Arjun se sentait mieux. Et Clara mettait le coeur à l'ouvrage pour déployer la V6 du bateau afin de tenter de rattraper un retard largement pris depuis plus d'une journée.

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#1 'D6' : 3

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#2 'D6' : 6

Perle Boréale - 6+3+1+2= 12

Le Pebur lui était encore au large de l'Empire du Gwangua. Mais justement dans le secteur d'activité du sponsor, les guerres civiles comme en territoire Ngu étaient du pain béni. Il eus une discussion assez houleuse avec sa coéquipière Caspachaa. Il tenta de lui expliquer que "Le Pebur" était en retard et qu'il était temps de prendre des risques, des gros risques même. Ils firent un état des lieux du classement, La Galou parlait de tactique sportive, de compétition, de leur carrière de marins.  Caspachaa écoutait son skipper et lui laissa terminer le développement de ses arguments. Puis sèchement, elle lui expliqua son point de vue : "Sauf votre respect, je crois plutôt que nous passons à proximité d'une zone de guerre et que vous avez très envie de hisser notre joli spi faisant de la publicité pour votre armurerie, histoire de vendre quelques flingues supplémentaires à de pauvres malheureux qui n'ont pas besoin de çà"
La Galou resta scotché, il pensait que son petit argumentaire passerait facilement. "Tu as raison, il y a de çà. Comment je me suis payé ce navire à ton avis ? En faisant des gaufres ? De toute façon on est loin au classement, je suis le skipper et on va aller tout les deux hisser ce putain de spi !"
Caspachaa avait dit ce qu'elle avait à dire, la situation était claire elle était en désaccord avec son coéquipier qui était également son sponsor. Mais elle s'exécuta, elle était là pour çà et n'aurait rien à se reprocher même si à la prochaine étape ce sera probablement le même choix de voile et que les probabilités de se gaufrer étaient maximales.

Le Pebur (ECOM) était donc désormais sous spi (V10)

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'D6' : 4, 3

L'équipage du "Décar",  Taborchii et Elonéaa, avaient désobéit aux consignes de leur sponsor 4x4 Corp. Ils avaient simulé une avarie sur le spi pour passer une zone dangereuse au large du Gwangua et ainsi justifier l'emploie de leur Génois. Mais ils arrivaient au large de la Ligue Eburnéenne Décanale, il y aura un commité d’accueil, des navires de plaisanciers mais aussi certainement une goélette affrétée par 4x4 corp avec des invités de marque à bord. La fondatrice de 4x4 Corp voudra voir son logo en grand pour se faire de la publicité.
L'avarie sur le spi était volontairement facilement réparable, Elonéaa se chargea de le recoudre et ils le hissèrent avant l'aube. En cas de question cette réparation justifiera leur choix. Cela aurait très bien pus arriver sans leur intervention, le soucis était que ce spi était maintenant plus fragile. L'équipage était nerveux, si il se déchirait totalement au large de la LED ce serait une catastrophe et en y regardant de plus près, la supercherie ne tiendrait pas longtemps. Ils connaissaient mal les océans du Micromonde mais l'équipage savait très bien que les vents dominant d'ouest dans cette zone n'étaient pas du tout adaptés à cette voilure et qu'ils étaient des plus capricieux. D'une heure à l'autre ils pouvaient être d'une rare violence tout comme s'éteindre aussi rapidement. Ils étaient piégés à une table de roulette devant un public qui sera impitoyable si la perle d'ivoirine s'arrêtait sur la mauvaise case.

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'D6' : 5, 6, 2