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Aristide Sally dépoussiéra un peu la CONACEP en y initiant une réunion sur la création d'une organisation rassemblant les médias de l'Archipel.
Fruit d'un intense lobbying mézéne, leader en la matière, il s'agissait notamment de garantir une organisation efficiente du Microvision tout comme développer bon nombre de projet commun, certains parlaient d'une mutualisation des appels d'offre des événements sportifs ou encore d'une charte des journalistes.
Ce n'était pas la spécialité de Sally, aussi ce dernier se contenta de laisser une salle spéciale pour cette organisation. Un diplomate édoranais avait évoqué le nom de l'ORATA mais on ne savait pas encore si c'était celui qui serait choisi.
Après un discours rappelant comme à son habitude la nécessité de rassembler les nations autours de projets communs et que les projets culturels étaient les plus difficile à faire développer, Sally félicita les experts en média présent et salua tout ceux qui participaient à la réussite du Microvision, devenu un événement incontournable de l'Archipel.
Conscient que nombre d'entre eux souhaitaient une totale indépendance politique, y compris de l'ONA à l'image de la CONACEP, Sally accepta de laisser les experts débattrent et décider de la formation de l'organisation.
Comme la CSM, l'ORATA pouvait établir son siège à Talamanca et garder son indépendance, Sally s'y était engagé.
Fruit d'un intense lobbying mézéne, leader en la matière, il s'agissait notamment de garantir une organisation efficiente du Microvision tout comme développer bon nombre de projet commun, certains parlaient d'une mutualisation des appels d'offre des événements sportifs ou encore d'une charte des journalistes.
Ce n'était pas la spécialité de Sally, aussi ce dernier se contenta de laisser une salle spéciale pour cette organisation. Un diplomate édoranais avait évoqué le nom de l'ORATA mais on ne savait pas encore si c'était celui qui serait choisi.
Après un discours rappelant comme à son habitude la nécessité de rassembler les nations autours de projets communs et que les projets culturels étaient les plus difficile à faire développer, Sally félicita les experts en média présent et salua tout ceux qui participaient à la réussite du Microvision, devenu un événement incontournable de l'Archipel.
Conscient que nombre d'entre eux souhaitaient une totale indépendance politique, y compris de l'ONA à l'image de la CONACEP, Sally accepta de laisser les experts débattrent et décider de la formation de l'organisation.
Comme la CSM, l'ORATA pouvait établir son siège à Talamanca et garder son indépendance, Sally s'y était engagé.
