Réunion inaugurale de l'ORTA

Fritigern Krops : - Effektivement ORTA ça sonne mieux !

Le Krasslandais trouvait que ORATA faisait penser à oratoire ce qui pouvait peut être convenir pour les grenouilles de bénitier monarchistes mais pas pour les Krasslandais.

Carole Lagrange : Et au sujet des langues nationales, Monsieur Krops, quelle est votre opinion ?

Mise à jour du nom des représentants et médias membres de l'ORTA:

Larkaa : Je suis contre l'obligation des langues régionales, tout en gardant une certaine cohérence assurée par les diffuseurs micronationaux

Le Krasslandais répondit à Lagrange..

Fritigern Krops : -  A vrai dire je m'en fout de cette histoire de langue. Chakun fait komme il veut.. Le Krassland fait partie des pays ki ont des kultures fortes et ki sont fiers de leurs langues nationales... Mais s'il y a d'autres pays ki ont un peu honte de leurs langues nationales et ki préfèrent chanter en Krasslandais pour avoir des chances de l'emporter on ne peut pas leur en vouloir.

Carole Lagrange : Étant donné que 7 représentants sur 11 s'opposent à une règle qui imposerait les langues nationales, je pense qu'on peut enterrer ce projet.

J'avais idée de créer une Présidence tournante de l'ORTA. Chaque trimestre, la Présidence reviendrait au représentant du média qui a organisé le concours lors de la précédente édition. Par exemple, aujourd'hui cette Présidence reviendrait à notre ami Larkaa.

En plus de cela, je souhaitais également créer un poste de Superviseur Exécutif. Cette personne serait chargée de superviser la prochaine édition du concours, pendant sa préparation et surtout au moment des votes. Elle serait désignée par le Président. Les votes lui seraient envoyés, en plus d'être envoyés à l'organisateur, bien sûr, ce qui fait qu'elle connaitrait les résultats avant que ceux-ci soient dévoilés et elle pourrait donc rectifier d'éventuelles erreurs.

On peut envisager que ces postes ne tournent pas chaque trimestre, que les personnes soient élues ou désignées, et que ce soit pour une durée plus longue, c'est à vous de voir.

Que pensez-vous de tout ça ?

Fritigern Krops : - Je n'ai pas d'objektion sur le principe de la présidence tournante. Pour le koordinateur c'est à voir. Je pense k'avek la bureaukratie, plus c'est lourd et moins c'est viable alors essayons de garder kelke chose de léger si on veut ke ça soit réellement appliké.

Pour ma part je propose ke la viktoire au Mikrovision soit aussi rékompensée par une prime monétaire. La rekonnaissance et la gloire c'est bien... mais avek un paket de gulbars c'est mieux. Après faudrait voir si on verse la rékompense direktement aux artiste ou aux produkteurs ou alors aux deux.

Marina Moix :

- "Donner une prime serait une bonne chose mais cela ne ferait que renforcer les votes politiques ou tactiques."

Carole Lagrange : Nous verrons l'aspect financier en dernière partie de cette réunion, parce que c'est un gros morceau et j'ai des foules d'idées passionnantes à ce sujet !

Pour la création du poste de Président de l'ORTA et de Superviseur Exécutif, attendons de voir ce qu'en pensent les autres représentants.

Je note que la CSH, le Freineubourg, l'UTO et Sorabe (qui ont participé à la dernière édition) n'ont pas envoyé de représentants, c'est la même chose pour d'anciens participants que nous n'avons pas revus lors de cette édition à Rakur. Je souhaiterais que l'adhésion à l'ORTA soit une obligation pour pouvoir participer au Microvision.

Je suis opposé à tout alourdissement des procédures.

Si je suis indifférent à la mise en place d'un présidence (tournante, pivotante, sinueuse ou angulaire, comme vous voulez), je suis en revanche contre le superviseur dont la nomination ou élection sera à coup sûr sujette à débat et rapport de force et réduirait le Microvision à une compétition politique, malsaine.

Je suis également contre l'obligation d'être membre de l'ORTA pour participer au Microvision.

Le Microvision se passe bien jusqu'à présent, nous avions enfin un concours sympa et trop de prise de tête, pourquoi vouloir en faire le même merdier invivable et vouer à l'échec que l'ONA ?

Marina Moix :

- "Peut être pouvons nous nous mettre d'accord sur le fait qu'il faut être membre de l'ORTA pour recevoir la récompense financière.
Mais par contre pas d'obligation pour participer au Microvision.

Qu'en pensez vous ?"

Carole Lagrange : Je veux bien oublier cette idée de Superviseur Exécutif si vous pensez que ça pourrait alourdir l'organisation d'une édition ou si sa désignation pourrait poser problème, mais selon moi s'il n'y a pas l'obligation d'être membre de l'ORTA pour participer au Microvision, alors dans ce cas l'ORTA n'a plus lieu d'être.

Si cela en inquiète quelques-uns, sachez que je n'imaginais pas l'ORTA tenir une réunion après chaque édition du concours. L'organisation s'occupe éventuellement de la gestion des primes pour la victoire, ses membres se réunissent en cas d'absolue nécessité et ça s'arrête là. Pour être membre il suffit de le demander, comme vient de le faire notre ami russlave.

Soyez le bienvenu Monsieur Trejnev ! Pouvez-vous préciser quel média vous représentez ?

Marina Moix :

- "Dans ce cas peut etre pouvons nous obliger l'Etat à etre membre de l'ORTA mais alors facilitons son entrée un peu comme à l'ONA du genre qu'il suffit que le pays signe le règlement du Microvision pour etre membre.

Pour rendre l'ORTA encore plus utile et pas seulement responsable du Microvision, nous pourrions aussi essayer de mettre en place ensemble un système de financement et de calcul d'audimat dans le Micromonde afin d'avoir un classement des médias les plus regardés dans l'Archipel."

Carole Lagrange : Madame Moix, vous faites une regrettable erreur que je dois très vite corriger afin d'éviter tout malentendu. Ce ne sont pas les États qui sont membres de l'ORTA, ce sont des médias, le plus souvent des chaines de télévision mais aussi des stations de radio.

Quant à votre proposition sur le financement des médias et un calcul de l'audimat, nous verrons cela plus tard, évitons de nous disperser.

Marina Moix :

- "Oui quand je disais Etat, c'était le ou les médias des Etats."

Larkaa : Les diffuseurs doivent être rétribués selon le classement de leur diffusion et non selon un audimat difficilement quantifiable.
Reste à savoir le montant perçu par ordre dégressif et surtout qui paye ?
Nous avons des systèmes économiques différents, une somme serait donc discutable (quoi que possible). Je propose que selon la place au classement, le premier reçoive un studio supplémentaire, le second une platine de mixage le troisième une caméra etc... On va dire rien en dehors du podium ?
On pourrait imaginer des petites icônes symboliques en signature représentant les moyens du diffuseur, tout le monde commençant par une de chaque, ensuite multipliées par les récompenses ? Après rétroactif ou pas ? Là je passe la main.....

Par exemple :

Studios fois x :


Mixage audio fois x :


Caméras fois x :


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x1 x1 x1

Carole Lagrange : Monsieur Larkaa, je viens de dire à Madame Moix que nous devions éviter de nous disperser, donc nous verrons le financement et le système des primes plus tard. Pour l'instant la question qui se pose, c'est l'obligation d'être membre de l'ORTA pour pouvoir participer. Cette obligation me semble logique et en plus ça n'est qu'une formalité. Il suffit d'annoncer le média participant, le nom de la personne qui représente ce média et c'est fait, vous êtes officiellement membre de l'ORTA.

Donc, tout le monde est d'accord ?

Nous sommes d'accord.

Palladios Kalogranis : - Le problème avec ce système facilité d'adhésion c'est qu'on risque un jour de se retrouver avec des membres indésirables dont on ne saurait comment se débarasser. Que ce passerait t'il si demain une chaîne appartenant à une secte violente appellant au meurtre des hérétiques adhère à l'ORTA et utilise cette tribune pour diffuser son discours nauséabond ? Ne faudrait t'il pas envisager aussi un moyen d'exclure un membre par exemple par un vote à la majorité qualifiée des deux tiers ? Ou alors prévoir que les nouveaux membres doivent être parrainés par deux ou trois membres existants ?

Carole Lagrange : Vous posez une question intéressante, Monsieur Kalogranis, et je pense pouvoir y apporter une réponse.

D'une part, alors que beaucoup souhaitent éviter un alourdissement du fonctionnement de l'ORTA et appellent au contraire à sa simplification, je ne pense pas qu'il soit souhaitable de mettre en place un système de parrainage pour toute nouvelle adhésion. Il me parait peu probable que le scénario que vous décrivez se réalise, il faudrait être sérieusement dérangé pour utiliser la tribune de l'ORTA pour diffuser un discours de haine.

Mais imaginons que se pose un jour la question de l'exclusion d'un membre pour une raison ou une autre. J'ai dit tout à l'heure que l'ORTA ne se réunirait pas après chaque édition, comme cela se fait au CSM, par exemple, mais uniquement en cas de nécessité absolue. Et ça, vous voyez, c'est typiquement le genre d'événement que je range dans les nécessités absolues !

Un membre pourrait à tout moment demander une réunion de l'ORTA, pour ça ou pour une autre raison, d'ailleurs. Le média incriminé pourrait en guise d'avertissement être suspendu, ce qui l'empêcherait de participer à l'édition suivante du Microvision. Pour une faute vraiment grave ou une récidive, cela pourrait aller jusqu'à l'exclusion, mais sincèrement je doute qu'on en arrive là.

Une réunion extraordinaire de l'ORTA pourrait décider de la suspension ou de l'exclusion d'un membre par un vote, en effet. Ce serait plus simple et peu contraignant.

Carole Lagrange : Monsieur Birelta, je précise qu'il ne peut y avoir qu'un seul représentant par pays, donc vous représentez tous les médias de votre pays, y compris Direct Prya qui diffuse le Microvision.

Mise à jour du nom des représentants et médias membres de l'ORTA:

Je suis d'accord avec une admission simple et un vote éventuel pour une exclusion.

Madame Lagrange, je représente l'Association Cinématographique de Salut Public.